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Art Up! encourage la jeune création avec la 6ème édition de l’exposition « Revelation by Art Up! »

28 février 2019 | Posted by Marine on Art contemporain, artiste, artistes, arts créatifs, Arty Buzz, Non classé, photgraphie, Pop art / Tagged: alizée ségard, baptise rabichon, elena carbonelli, emmanouil Zervakis, Foire, galeries, hadrien téqui, joe delcrout & felicita Laude, jordan boudert, mathilde Claebot, photographie, Qi han, renata andrade, soumaya menouar, stanislav kurakin, yorsa mojtahedi | 0 comments
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Art Up! Encourage la jeune création avec la 6ème édition de l’exposition « Revelation by Art Up! »

 

Première foire d’art contemporain en région avec 120 galeries présentes et 38 000 visiteurs attendus, Art Up! offre une place de choix à la jeune création artistique. Pour sa 12e édition, ce rendez-vous commercial et culturel désormais ancré dans le calendrier national, mettra à l’honneur dix jeunes talents issus des écoles d’art de la région des Hauts-de-France.

Sélectionnés par le comité de sélection artistique de la foire parmi une vingtaine de candidatures proposées par les écoles d’art de l’euro-région, les dix jeunes artistes en sortie d’études se sont emparés du thème de cette nouvelle édition, « La photographie, au cœur des créations artistiques d’aujourd’hui ». Leurs réalisations sont mises en scène sur Art Up! 2019 au sein de « Revelation by Art Up! », un espace d’exposition de 90 m2 au cœur de la foire.

« Beaucoup d’artistes confirmés vont être exposés sur les stands des galeristes, mais nous voulons aussi mettre en avant la jeune génération issue de la région », explique Didier Vesse, Directeur Artistique d’Art Up!. « Il faut que notre foire conserve sa fonction pédagogique et culturelle. Revelation by Art Up! reste donc un tremplin pour les jeunes artistes ».

En offrant à la jeune création une opportunité unique de rencontrer galeristes, collectionneurs et professionnels du monde artistique et culturel, et de venir à la découverte d’un public averti ou d’amateurs d’art, Art Up! confirme ainsi sa volonté d’encourager et de donner à voir les talents artistiques de demain.

La photographie : une sélection, de multiples interprétations

Elena Carbonelli – École Supérieure d’Art du Nord-Pas de Calais / Dunkerque – Tourcoing

Coup de cœur du comité de sélection artistique, Elena Carbonelli est baignée dans le milieu sportif depuis son plus jeune âge en tant que patineuse artistique et développe un regard singulier sur l’art contemporain.

Étudiante à l’université de Strasbourg puis à l’université de Lille, elle s’intéresse dans son travail plastique et ses recherches artistiques à l’empreinte du corps. Un corps pourvu d’émotions, un ultime cri de l’être, un souvenir de l’existence qui passe. C’est aussi un corps en quête d’identité individuelle et collective qui surgit, ou qui s’efface, à travers pléthores de médiums et de recherches collectives.

Ici, c’est par le biais de séries photographiques accompagnées de textes que s’articule cette problématique de la déconstruction.

 

La série Absorptions met en scène le corps de la jeune artiste dans différents milieux sur lesquels elle a travaillé pour ses recherches artistiques performatives et photographiques.

 
 

Renata Andrade – Université de Lille, département Arts plastiques – Tourcoing

Diplômée à la fois en arts scéniques et en arts visuels, Renata Andrade, actuellement en master Arts à l’université de Lille, est une artiste qui refuse d’entrer dans le cadre. Rejetant les catégorisations, son travail cherche à mettre en lumière les frontières informelles et leurs zones de troubles.

A la fois artiste et actrice, brésilienne et française, blanche et noire, ses performances dans l’espace public font sortir l’art de son cadre formel et interrogent nos comportements sociaux.

Dans Interface, la performeuse, qui a grandi dans les banlieues populaires de São Paulo, joue avec la frontière entre l’artiste et le spectateur. En invitant les passants à réaliser l’œuvre avec elle, elle fait bouger les codes, l’un se nourrissant de l’autre. Lace travail en timelapse brise aussi les fronctaièprteastitornadietionnelles entre la performance, la photographie et la vidéo et pousse le spectateur vers une autre perception de la réalité.


Jordan Boubert – Université de Lille, département Arts plastiques – Tourcoing

Un intérêt pour le médium photographique, une Licence en Arts Plastiques et un Master en Arts plastiques et Visuels permettent à Jordan Boubert d’aller au-delà du croquis préparatoire et de mettre en image ses idées. La mise en scène du corps est étudiée de sorte à lier théâtralité et chorégraphie. Cette série est un ensemble de photographies où différents espaces naturels et délaissés de toute vie collabore avec le corps humain.

Le retrait, l’abandon du corps ou même le mystère sont ce qui qualifie au mieux les intentions photographiques de Jordan

 

Joe Delcrout & Félicia Laude – Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis

Par la réalité d’un instantané photographique, les artistes cherchent à révéler une histoire fantastique, voire horrifique, liée à des faits historiques. Ceux-ci peuvent être rattachés au monde de la magie ou de la sorcellerie, avec ici les bûchers de Salem, qui punissaient les femmes accusées de sorcellerie.

Cette part d’histoire ouvre une brèche sur les mythes, elle nous fait accéder à un monde magique en faisant apparaître une quatrième dimension dans notre réalité.
Photographies et retouches numériques (photo-bash), ce travail collaboratif est né du désir de recréer une atmosphère teintée de mystère et d’angoisse, des paysages suscitant un constant va et vient entre jeu visuel, graphique, et stéréotype, comme si l’histoire de la photographie avait les mêmes poncifs que les classiques du cinéma d’horreur.

 

Accentuant l’atmosphère sombre et pesante du récit photographique, ces images nous montrent des lieux communs, elles créent un trouble spatio-temporel. Sont-elles des photographies des forêts de Salem ? Peut-on directement relier ces lieux à de véritables bûchers ?

 

Stanislav Kurakin – École Supérieure d’Art du Nord-Pas de Calais / Dunkerque – Tourcoing

Quel est ce petit observateur placé de l’autre côté du verre, dont l’œil paraît aussi énorme que l’Univers entier ? Cet observateur curieux mit fin à la cosmologie religieuse enosant regarder dans un trou de serrure pour voir ce qu’il yavait et en ne voyant rien. Le télescope devint vite un des symboles de la révolution scientifique et fut responsable d’un changement paradigmatique considérable dans la société depuis le XVIe siècle. Le jour où l’homme devint observateur de l’Univers, il réussit à amener sa connaissance et saconscience à un niveau supérieur. Mais saura-t-il un jour échapper à lui-même dans sa quête du réel ?

 

L’installation comprend quatre télescopes à fonctions détournées qui interrogent notre rapport à la réalité. Le premier télescope présente une réflexion sur la possibilité de l’observation du noir absolu dans l’environnement qui est le nôtre, ce qui évidemment s’avère impossible car l’absence de lumière signifie l’impossibilité de l’observation. Le deuxième interroge la nature des données qui nous permettent de découvrir l’espace, d’où une interprétation sonore des corps célestes donnée à écouter dans un appareil àusage visuel. Le troisième télescope interroge la relation entre l’infiniment grand et l’infiniment petit : il recèle en lui un microscope et un échantillon de tissu vivant qui, agrandi plus de 1200 fois, ressemble à lareprésentation d’une nébuleuse. Enfin, le dernier télescope efface le traditionnel « objet de recherche » en le remplaçant par… le sujet lui-même : un jeu de lentilles et d’éclairage permet au spectateur de voir l’infini à l’intérieur de son propre œil.

Soumaya Menouar – École Supérieure d’Art du Nord-Pas de Calais / Dunkerque – Tourcoing

 

Illusions Potentielles ou Potentiels d’un algorithme de l’illusion, tels sont les intitulés du travail de recherche artistique de Soumaya Menouar qu’elle développe à l’ÉcoleSupérieure d’Arts du Nord-Pas de Calais, depuis 2017.

Sa pratique plastique est pluridisciplinaire et s’oriente vers un travail de recherche théorique. La question travaillée avec son laboratoire de Recherche en Illusions (ARCEFICT – Artistes Chercheurs en Expérimentations Fictionnelles) est : peut-onréaliser l’algorithme de l’illusion ?

Le programme interprète un réel : La vidéo est générée à

partir de cet algorithme qui matérialise le mécanisme de la construction d’une illusion. Il s’agit d’une invitation à se projeter, voire à percevoir ses propres Illusions potentielles.

 

Yorsa Mojtahedi – Le Fresnoy – Studio national des arts contemporains/Tourcoing

Dans l’enfance de Yorsa Mojtahedi la poésie était partout. Cette série s’inspire de la poétesse Forough Farokhzad, pour tenter de trouver une image fidèle à sa génération, nourrie de ses poèmes et éprise de liberté. Forough Farrokhzad (1934-1967) fut la première femme marquante de la littérature iranienne. Son lyrisme moderne dans une société répressive contient parfois des échos de la grande poésie classique persane (Omar Khayam, Roumi, Hafiz).

Cette série contient une vision simple et minimale de son pays à l’histoire complexe et tumultueuse.
« Les photomontages sont faits avec les photos de divers endroits où j’ai vécu en Iran et montrent des femmes nues, pour donner une image pure, sans censure». Cette image ne peut être réalisée et reste comme un rêve.

Le noir dans les photos est inspiré par le mouvement entre de la lumière et l’obscurité de l’architecture persane : Pour un bâtiment, l’aspect spirituel est plus important que l’aspect physique.

 

 
 

L’utilisation de la lumière est l’axe principal de l’architecture islamique. Le but principal est de sortir de l’obscurité pour entrer dans la lumière.

QI Han – École Supérieure d’Art du Nord-Pas de Calais / Dunkerque – Tourcoing

Dans cette série, QI Han fait référence à la NASA et représentel’environnement de la lune et de Mars. Il a créé cette série en travaillant son imagination afin de mettre en scène une planète absurde.

©QI Han, Le paysage spatial, 2018 – Huile sur toile, 100 x100cm

Emmanouil Zervakis – École Supérieure d’Art du Nord-Pas de Calais / Dunkerque – Tourcoing

Ayant passé la majeure partie de sa vie entre plusieurs pays, Emmanouil Zervakis a développé une sorte d’instinct pour observer les détails de nouveaux environnements. Cette série prise au Mexique représente des compteurs électriques. Tels des portraits désincarnés de leurs propriétaires, ils sont riches d’une multitude de micro-informations et nous renvoie à notre propre imaginaire.

Par ce jeu de contraste entre la précision mécanique des compteurs, qui enregistrent d’une certaine manière notre rythme de vie, et la liberté du geste des couleurs de leurs hôtes, une certaine tension s’en dégage.

 

Que sont devenus les anciens de « Revelation by Art Up! » ?

Revelation by Art Up! est un véritable tremplin pour la jeune création : une chance pour ces talents de voir leur travail remarqué et reconnu.
Focus sur d’anciens participants et lauréats de précédentes éditions :

Baptiste Rabichon

Baptiste Rabichon a exposé sur l’espace Revelation by Art Up! en 2016. Aujourd’hui le jeune artiste est visible dans de nombreuses galeries et expositions, il a notamment été exposé sur Paris Photo. Ses imagesmêlent l’argentique au numérique, et leur épaisseur tient aussi des matériaux qu’il accole à ses photos : des objets et des matières qu’il ramasse en ville, au sol, dans ses placards, sur Internet, dans les livres… Baptiste Rabichon explose et expose les réalités kaléidoscopiques des images. Il tente sans relâche de nouvelles choses pour faire apparaitre une autre vision. Une nouvelle réalité, peut-être.

Mathilde Claebots

Révélée par la foire en 2016, Mathilde Claebots est désormais répertoriée parmi les artistes de la galerie lilloise Provost-Hacker. Mathilde Claebots travaille autour de la thématique des sièges.
Cette passion pour les sièges est née d’un CAP de tapissier d’ameublement doublé d’étude à l’École supérieure d’art du Nord-Pas de Calais / Dunkerque – Tourcoing. L’artiste aborde le siège d’une manièreinédite et explore les liens entre art, artisanat et design.

Hadrien Téqui

Autre révélation de la foire en 2016, Hadrien Téqui travaille d’une manière poétique autour du détournement de la technologie. L’artiste se concentre sur les phénomènes d’apparition, de transformation et de disparition d’une forme, d’une image ou d’un son.

 

L’artiste soumet ensuite ces images à l’intelligence artificielle de la technologie. Ainsi, en faisant bugger une machine qui scanne en 3D, Hadrien obtient des objets symbolisant l’échec mais qui donnent vie à des sculptures extraordinaires. Hadrien Téqui a reçu le prix Studio Collector 2018 à la Cité Internationale des Arts à Paris.

Alizée Ségard

Sélectionnée pour la prochaine exposition 2019 de la Cité Internationale de la dentelle et de la mode à Calais, Alizée Ségard s’est illustrée en 2018 lors de la foire. Dans ces œuvres, les plis, nervures ou sillons, convoquent les sens et appellent à un rapport de proximité afin de les appréhender, de les apprivoiser.
Le rapprochement des concepts antinomiques mais qui pourtant tendent à se rejoindre, tels la présence / l’absence, le plein / le vide, l’animé / l’inanimé, retiennent l’attention d’Alizée Ségard.

L’impression qui évolue à la frontière de ces perceptions qui se recouvrent en un mince affleurement, constitue le point de départ de la recherche de cette artiste qui nous fait entrapercevoir un pan de la sensibilité qui lui est propre tout en nous permettant d’y projeter nos propres intériorités.

Informations pratiques

HORAIRES

Jeudi 28 février 2019 de 11h à 23h Vendredi 1er mars 2019 de 11h à 20h Samedi 02 mars 2019 de 10h à 20h Dimanche 03  ndndndndn  février 2019 de 10h à 20h

BILLETTERIE EN LIGNE

Tarif normal : 9€ – revisite offerte
Tarif prévente : 7€ – revisite offerte
                 Gratuit pour les enfants de – de 10 ans
                 Tarif sur place : 10 €
* Tarif réduit pour toute place achetée sur la billetterie en ligne en prévente uniquement

SOIREES SPECIALES

Mercredi 27 février 2019 : Vernissage preview à 16h (sur invitation)
Mercredi 27 février 2019 : Vernissage à 19h (sur invitation). Nuit de       jhfnfnf    l’Art : Jeudi 28 février 2019

LIEU

LILLE GRAND PALAIS
1 boulevard des Cités Unies 59 000 Lille

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