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Notre parcours pour la Nuit Blanche 2016

La 15e édition de l’évènement artistique parisien de l’année se déroulera dans la nuit du samedi 1er au dimanche 2 octobre. Jean de Loisy, Président du Palais de Tokyo, en assure cette année la direction artistique, proposant un parcours sur le thème du franchissement….

De l’Île de la Cité au Paris moderne du front de Seine, vous serez transportés dans un voyage dans le temps qui se poursuivra jusqu’au Paris de demain avec la Société du Grand Paris.

En s’inscrivant dans le cœur de la capitale, articulée autour de la Seine et de ses ponts, Nuit Blanche sera l’occasion de découvrir la ville autrement avec un parcours pensé comme une cartographie symbolique qui convie le visiteur à vivre une quête amoureuse.

Gratuite et ouverte au grand public, Nuit Blanche 2016 permettra de retrouver tous les ingrédients qui ont fait le succès public et artistique de cet événement majeur parisien : une concentration d’œuvres dans l’espace public en plein air, des artistes internationaux émergents ou confirmés et une approche coopérative avec d’autres structures ou événements culturels.

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Le Grand Paris Express invité de la 15ème édition de Nuit Blanche
Une oeuvre d’art immersive et poétique pour imaginer le Grand Paris de demain

En lien avec la nouvelle édition de Nuit Blanche 2016, la Société du Grand Paris prolonge le parcours artistique et ludique de la capitale en ouvrant l’imaginaire des visiteurs à la métropole de demain. L’artiste Tobias Rehberger et le musicien Thylacine présentent une installation immersive qui entremêle son, lumière, design graphique et architecture pour plonger le spectateur dans l’univers en construction d’un Grand Paris à inventer. Pour découvrir cette installation, véritable playground de lumière, rendez-vous à la pointe nord de l’île Saint-Germain, île de verdure au coeur de la métropole, située à mi-chemin entre les futures gares d’Issy RER et de Pont-de-Sèvres du Grand Paris Express.
 

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Le coeur du son,
anatomie du franchissement
Maguelone Vidal – conception de la performance, composition en direct
Fabrice Ramalingom – chorégraphe associé

Maguelone Vidal explore les relations poétiques et sensorielles entre le son et le corps. Tandis que les performers dansent leur vie en empruntant la chorégraphie de Fabrice Ramalingom, elle mixe en direct leurs battements de cœur en immergeant le spectateur dans leurs sonorités profondes. Le bruit de la vie, intime et universel, devient le flux vibrant de la ville, le pouls de Paris.

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À l’occasion de la Nuit Blanche et de la clôture de l’exposition Électroscope : du lab au dancefloor, la Fondation EDF présente au cours de la nuit du 1er au 2 octobre, une série de lives électroniques, de 21h à 2h du matin. Dans l’espace-chill-out de l’exposition mis en lumière et en image par le collectif Blow Factory, le public pourra assister à des lives explorant, au-delà du dancefloor, le registre d’une électronique ambient, mélodieuse et planante, par quatre artistes de différentes générations : Arnaud Rebotini, Philippe Cam, Oklou et l’autrichienne Clara Moto.

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Zad Moultaka, compositeur et plasticien né au Liban, explore à travers les langages musicaux et visuels, les chemins artistiques qui renouent avec des énergies premières.

La Nuit Blanche 2016 est l’occasion de découvrir son univers à travers trois rendez-vous emprunts de mystère et de poésie.

Comme un rêve de verre…
Sophie Lambert
installation verre, lumière et électroacoustique

Sophie Lambert s’attache à dessiner l’infini, en le transcrivant dans des cercles et des lignes qui n’auraient ni commencement ni fin.
Etoile, verre et eau échangent d’étranges similitudes, recréant au sein des Archives une rêveuse constellation, illuminée par le concepteur–lumière Benoît Deseille, et bercée par la musique hypnotique de Zad Moultaka.

La montée des ombres
Zad Moultaka
performance / procession musicale

Tel Orphée qui descendit aux enfers, les visiteurs poursuivent la quête de Poliphile dans le tunnel des Tuileries.  Immergés dans le son qui résonne de toute part, les visiteurs en cortège aperçoivent dans l’obscurité l’ombre de personnages fantomatiques qui se détachent des parois. Ces silhouettes fragiles, créées par les accidents du temps sont les spectres des millénaires passés.

Vibrances atonales
Zad Moultaka
installation sonore dans « Jardins d’Orient » (Institut du monde arabe)

De multiples sources sonores recréent une jungle rêvée, envahie de mille chants, sifflements, murmures, bourdonnements, craquements d’oiseaux, d’insectes, d’animaux, du vent, de pluie, de feu… Toute cette affolante diversité de la nature vierge surgit pourtant du corps, façonnée par la voix humaine.

PIERRE LAPORTE COMMUNICATION
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